• j'ai révé de ma collegue de travail. j'ai beaucoup de chose a raconter sur elle et sur d'autres filles que j'ai récemment rencontré mais je n'ai pas encore trouver la motivation de tout raconter. J'ai trouvé un job a mi temps dans une boite de communication, il y a une fille trop belle qui travaille avec moi, on dirait une miss france, ce qui n'est pas un gage assurée de beauté , je l'accorde volontier, mais c'est pour donner une idée de ses mensurations vertigineuse et de la beauté plastique enchanterresse de son visage, tres grande, tres bien foutue, tres classe etc... mais elle n'est pas du tout mon style. le jour ou je sortirai avec une fille qui porte des chaussures Chanel n'est pas pres d'arriver. ce n'est pas pour rien si je m'interresse bcp a la philo d'epicure, mais en fait la fille dont j'ai revé, ce n'est pas elle mais une autre collegue, qui travaille avec les "créatifs". ELle est en stage, doit etre assez jeune, plus jeune que moi en tout cas, elle une tete de souris, a l'air super timide, parle d'une voix faible qu'on entend a peine, elle ressemble a ma premiere petite amie (ce n'est pas un hasard bien sur mais suis je attirée par elle par ce qu'elle ressemble a mon premier amour qui ressemblait elle meme a une souris ou bien suis je "en général" attiré par les visages aux visage de souris comme elodie bouchez dans "peril jeune", pas apres car elle a perdu sa candeur tout en gardant son charme), elle s'habille de facon epicurienne, legerement hippie on pourrait dire, dans le style simple beau et elegant, bref si je ne connaissait pas epicure, je me serais surement aller a penser que suis amoureux d'elle. il n'en est rien bien sur car je ne lui ai parlé qu'une seule fois dans toute ma vie mais j'ai hate de retourner travailler lundi pour échanger avec elle quelques paroles précieuses et délicieuses. ah oui, un détail marrant elle se prénomme guillemette.

    3 commentaires
  • <o:p> </o:p>

    Db                       Bb9/Bb7       Ebm/Ebm7           Ab / Ab7

    J'ai encore rêvé d'elle C'est bête, elle n'a rien fait pour ça

    Db                       Bb/Bb7       Ebm/Ebm7           Ab / Ab7 (F#)

    Elle n'est pas vraiment belle C'est mieux, elle est faite pour moi

    Fm        Bbm7     Eb                  Ab7

    Toute en douceur Juste pour mon coeur

    Db                Bb     Ebm/Ebm7                     Ab

    Je l'ai rêvé si fort Que les draps s'en souviennent

    Db                                   Bb       Ebm/Ebm7               Ab

    Je dormais dans son corps Bercé par ses "je t'aime"

    <o:p> </o:p>

    Db           Ebm/F            Bbm         Abm/Db7

    Si je pouvais me ré____veiller à ses côtés

    Gb          Bb9/Bb7          Ebm

    Si je savais où la trouver

                    Ab7        Db                Gb/F    Bbm

    Donnez-moi   l'espoir Prêtez-moi un   soir

              Gb                      Db

    Une nuit juste pour elle et moi

                Abx2                               Db

    Et demain matin elle s'en ira

    <o:p> </o:p>

    Db                          Bb                         Ebm

    J'ai encore rêvé d'elle (je rêve aussi)

    (Ebm7)                         Ab                        Db

    Je n'ai rien fait pour ça(j'ai mal dormi)

    (Db)                                     Bb                         Ebm

    Elle n'est pas vraiment belle (j'ai un peu froid)

    (Ebm7)                      Ab                   Fm

    Elle est faite pour moi(reveille-toi)

    (Fm)               Bbm7    Eb                            Ab7    

    Toute en douceur Juste pour mon coeur

    <o:p> </o:p>

    Db          Ebm/F            Bbm         Abm/Db7

    Si je pouvais me réveiller à ses côtés (ouvres tes yeux tu ne dors pas)

    Gb         Bb9/Bb7         Ebm

    Si je savais où la trouver (regardes-moi)

                    Ab7        Db

    Donnez-moi l'espoir (je suis la à toi)

                 Gb/F     Bbm

    Prêtez-moi un soir (je t'aime)

              Gb                      Db                         Ab       Db

    Une nuit juste pour elle et moi Et demain matin elle s'en ira

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    (Db)       Ebm/F            Bbm         Abm/Db7

    Enfin je vais me réveiller à ses côtés (je t'attendais, regarde-moi)

    Gb                  Bb9  Bb7        Ebm

    C'est sur je vais la retrouver (ouvre tes bras)

                    Ab7       Db

    Donnez-moi un soir (je suis la à toi)

                   Gb  F     Bbm

    Laissez-moi y croire

            Gb              Db

    Une vie, juste pour toi et moi

              Ab                   Db

    Et demain, tu seras là    

    <o:p> </o:p>


    1 commentaire
  • I L'être bienheureux et incorruptible n'a pas lui-même de soucis et n'en cause pas à autrui ; de sorte qu'il n'est sujet ni à la colere ni à la bienveillance : car tout ce qui est tel est le propre d'un être faible.
    II La mort n'est rien par rapport à nous ; car ce qui est dissous ne sent pas, et ce qui ne sent pas n'est rien par rapport à nous.
    III La limite de la grandeur des plaisirs est l'élimination de toute douleur. Partout où se trouve le plaisir, pendant le temps qu'il est, il n'y a pas de place pour la douleur, ou le chagrin, ou les deux à la fois.
    IV La douleur ne dure pas d'une façon ininterrompue dans la chair, mais celle qui est extrême n'est là que le temps le plus court, et celle qui surpasse à peine le plaisir corporel ne dure pas de nombreux jours ; quant aux maladies de longue durée, elles s'accompagnent pour la chair de plus de plaisir que de douleur.
    V II n'est pas possible de vivre avec plaisir sans vivre avec prudence, honnêteté et justice, < ni de vivre avec prudence, honnêteté et justice > sans vivre avec plaisir. Celui à qui manque ce à partir de quoi vivre avec prudence, honnêteté et justice1, il n'est pas possible que celui-là vive avec plaisir.
    VI Pour s'assurer la sécurité du, côté des hommes, le bien du pouvoir et de la royauté est un bien selon la nature, pour autant qu'à partir d'eux on puisse se la procurer.
    VII Certains ont voulu avoir renom et considération, pensant se procurer ainsi la sécurité du côté des hommes ; si, de la sorte, leur vie se passe dans la sécurité, ils ont obtenu le bien selon la nature, mais s'ils ne vivent pas dans la sécurité, ils n'ont pas ce à quoi ils ont tendu à l'origine, en suivant le propre de la nature.
    VIII Aucun plaisir n'est en soi un mal ; mais les choses qui produisent certains plaisirs apportent en bien plus grand nombre les importunités que les plaisirs.
    IX Si tout plaisir se condensait avec le temps, et s'il était présent dans tout l'organisme, ou dans les parties les plus importantes de notre nature, les plaisirs ne différeraient pas les uns des autres.
    X Si les choses qui produisent les plaisirs des gens dissolus dissipaient les craintes de l'esprit au sujet des phénomènes célestes, de la mort et des douleurs, et enseignaient en outre la limite des désirs, nous n'aurions rien à leur reprocher, à eux comblés de plaisir de toute part, et ne recevant de nulle part ni la douleur ni le chagrin, ce qui est précisément le mal.
    XI Si les conjectures inquiètes au sujet des phénomènes célestes ne nous tourmentaient en rien, et celles au sujet de la mort, qu'elle puisse être quelque chose ayant rapport à nous, et encore le fait de ne pas connaître les limites des douleurs et des désirs, nous n'aurions pas en plus besoin de la science de la nature.
    XII II n'est pas possible de dissiper la crainte au sujet des choses les plus importantes1 sans savoir quelle est la nature du tout, mais en vivant dans une incertitude anxieuse de ce que disent les mythes ; de sorte qu'il n'est pas possible, sans la science de la nature, d'avoir des plaisirs purs.
    XIII II n'est d'aucune utilité de se procurer la sécurité vis-à-vis des hommes, si on laisse subsister les doutes angoissants au sujet des choses d'en haut, de celles qui sont sous la terre, et, en général, des choses qui sont dans l'infini.
    XIV Si la sécurité du côté des hommes existe jusqu'à un certain point grâce à la puissance solidement assise et à la richesse, la sécurité la plus pure naît de la vie tranquille et à l'écart de la foule.
    XV La richesse selon la nature est bornée et facile à se procurer ; mais celle des opinions vides tombe dans l'illimité.
    XVI La fortune a peu de prise sur le sage, car, les choses les plus grandes et les plus importantes, la raison calculante les a réglées, et, pendant toute la durée de la vie, les règle et les réglera.
    XVII Le juste est le plus exempt de désordre, l'injuste est rempli du plus grand désordre.
    XVIII Le plaisir dans la chair ne peut s'accroître une fois supprimée la douleur du besoin, mais il est seulement varié. La limite du plaisir de la pensée naît du fait de se rendre compte de ces choses mêmes, et de celles du même genre, qui sont cause pour la pensée des craintes les plus grandes.
    XIX Le temps infini contient un plaisir égal à celui du temps limité, si de ce plaisir on mesure les limites par la raison.
    XX La chair pose les limites du plaisir comme illimitées, et illimité est le temps qui le lui procure. Mais la pensée, qui s'est rendu compte de la fin et de la limite de la chair, et qui a fait disparaître les craintes au sujet de l'éternité, procure la vie parfaite, et n'a en rien besoin, en plus, d'un temps infini ; mais ni elle ne fuit le plaisir, ni, quand les circonstances ont amené le moment de quitter la vie, elle ne meurt comme s'il lui manquait quelque chose de la vie la meilleure.
    XXI Celui qui connaît les limites de la vie sait qu'il est facile de se procurer ce qui supprime la douleur due au besoin et ce qui rend la vie tout entière parfaite ; de sorte qu'il n'a en rien besoin, en outre, des choses qui comportent la lutte (agôn).
    XXII II faut appliquer la réflexion à la fin qui est donnée, et à toute l'évidence à laquelle nous référons ce qui est opiné ; sinon tout sera plein de confusion et de désordre.
    XXIII Si tu combats toutes les sensations, tu n'auras pas non plus ce à quoi te référant, tu puisses discerner celles d'entre elles que tu dis être trompeuses.
    XXIV Si tu rejettes absolument une sensation quelconque et ne fais pas la distinction entre ce qui est opiné et qui attend confirmation, et ce qui est déjà présent comme donné dans la sensation, les affections et toute appréhension immédiate de la pensée, tu confondras même les autres sensations avec l'opinion vide, en sorte que tu subvertiras tout critère. Et si, dans les conceptions que forme l'opinion, tu assures avec la même fermeté tout ce qui attend, et ce qui n'attend pas, confirmation, tu ne laisseras pas de côté ce qui est erroné, parce que tu auras conservé entière l'incertitude dans tout jugement sur ce qui est conforme à la vérité ou ne l'est pas.
    XXV Si, en toute circonstance, tu ne rapportes pas chacune de tes actions à la fin de la nature, mais que tu t'en détournes, en réglant ou ta fuite ou ta poursuite sur autre chose, tes actes ne seront pas cohérents avec tes discours.
    XXVI Parmi les désirs, tous ceux dont la non-satisfaction n'amène pas la douleur ne sont point nécessaires, mais ils ont un appétit qu'il est aisé de dissiper, lorsque la chose désirée est difficile à se procurer ou qu'ils paraissent capables de causer un dommage.
    XXVII De tous les biens que la sagesse procure pour la félicité de la vie tout entière, de beaucoup le plus grand est la possession de l'amitié.
    XXVIII La même pensée qui nous fait avoir confiance que rien d'éternel, ni même rien de longue durée \ n'est à craindre, a reconnu aussi que, dans les choses mêmes dont les durées sont limitées, la sécurité qui est celle de l'amitié se réalise au plus haut degré.
    XXIX Des désirs, les uns sont naturels et < nécessaires, d'autres naturels et > non nécessaires, d'autres ne sont ni naturels ni nécessaires mais naissent de l'opinion vide.
    XXX Parmi les désirs naturels, mais qui n'amènent pas la douleur s'ils ne sont pas satisfaits, ceux où la tension est forte naissent en raison de l'opinion vide, et ce n'est pas par un effet de leur propre nature qu'ils ne se dissipent pas, mais par suite de la vide opinion de l'homme.
    XXXI Le droit de la nature est le moyen de reconnaître ce qui est utile pour ne pas se faire du tort les uns aux autres et ne pas en subir.
    XXXII Pour tous ceux des êtres vivants qui n'ont pas pu passer de contrat sur le point de ne pas faire de tort mais de n'en pas subir non plus, à l'égard de ceux-là, rien n'est juste ni injuste ; de la même façon aussi à l'égard des peuples qui n'ont pas pu ou n'ont pas voulu passer de contrat sur le point de ne pas faire de tort ni d'en subir.
    XXXIII La justice n'est pas un quelque chose en soi, mais, quand les hommes se rassemblent, en des lieux, peu importe, chaque fois, lesquels et leur grandeur, un certain contrat sur le point de ne pas faire de tort ou de ne pas en subir.
    XXXIV L'action injuste n'est pas un mal en elle-même, mais dans la crainte qui vient de ce qu'on doute si elle échappera à ceux qui se tiennent en punisseurs de telles actions.
    XXXV II n'est pas possible à celui qui commet clandestinement quelque chose de ce que les hommes ont convenu entre eux de ne pas commettre pour ne pas faire de tort ni en subir, d'être sûr qu'il ne sera pas découvert, même si, dans le présent, il y échappe dix mille fois, car, jusqu'à sa mort, l'incertain est s'il continuera à n'être pas découvert.
    XXXVI Selon ce qui est commun, le juste est le même pour tous, car il est quelque chose d'utile dans la vie en commun des hommes entre eux ; mais selon la particularité du pays et de toutes les autres conditions, quelles qu'elles soient, alors une même chose n'est pas juste pour tous.
    XXXVII Parmi les choses que les lois prescrivent comme justes, a le caractère du juste ce dont l'utilité se confirme dans la pratique de la vie en commun, que ce soit la même chose pour tous les hommes, ou non. Si quelqu'un établit une loi sans aller dans le sens de ce qui est utile à la communauté des hommes dans leurs rapports réciproques, cette loi-là n'a point la nature du juste. Et même si l'utile conforme au juste vient à changer, mais, pendant un certain temps, reste en accord avec la prénotion du juste, il n'est en rien moins juste pendant ce temps-là pour ceux qui ne se troublent pas eux-mêmes par des mots vides mais regardent les réalités.
    XXXVIII Là où, sans que soient survenues des réalités extérieures nouvelles, les choses établies comme justes par les lois sont apparues, dans la pratique, ne pas correspondre à la prénotion du juste, ces choses-là n'étaient pas justes. Mais là où, des réalités nouvelles étant survenues, les mêmes choses établies comme justes n'étaient plus utiles, dans ce cas, elles étaient justes alors, quand elles étaient utiles pour la vie en commun des citoyens, mais, plus tard, elles n'étaient plus justes quand elles n'étaient plus utiles.
    XXXIX Celui qui a le mieux contrôlé les éléments de trouble qui viennent du dehors, celui-là s'est fait un allié de ce qui peut l'être, et ce qui ne peut l'être, au moins il ne se l'est pas aliéné ; quant à tout ce vis-à-vis de quoi il n'a pas même eu un tel pouvoir, il a cessé d'avoir des relations avec, et il a écarté de sa vie tout ce qu'il lui était avantageux de traiter ainsi.
    XL Tous ceux qui ont eu la possibilité de se procurer, grâce à ceux qui les entourent, le sentiment de complète sécurité, ont vécu ainsi les uns avec les autres avec le plus de plaisir, possédant la garantie la plus solide, et, après avoir eu en partage l'amitié dans sa plénitude, ils n'ont pas gémi, comme si son sort était digne de pitié, sur la mort de celui qui avait, avant eux, fini sa vie.

    votre commentaire
  • Un des mes objectifs personnels est de rassembler tous les livres qui ont rapport avec l'épicurisme dans une grande bibliothèque qui pourrait être celle du futur jardin épicurien français.
     
    Cela afin de bien comprendre la morale épicurienne pour la mettre en œuvre dans ma vie quotidienne et penser les « lacunes » de cette philosophie dont seulement quelques fragments nous sont parvenus du passé.

    votre commentaire
  • Mon but est de produire par écrit un manifeste de l'épicurisme pour développer la philosophie d'Epicure et convertir sa sainte pensée a la multitude. J'utilise à dessein le langage religieux pour paraphraser le maître car, qui suit sa morale, vivra "comme un dieu parmi les hommes".
     
    Le but sera de distribuer des "tracts" dans la rue et sensibiliser les gens (suivant l'exemple des associations humanitaires qui rencontrent les gens dans la rue) sur la pensée épicurienne pour rallier d'autres "philosophes" a notre cause en vue de fonder un nouveau jardin épicurien. Un genre de jardin qui, pour paraphraser guillaume, serait un genre de communauté hippie sans les affres de la consommation des drogues ou autres plaisirs vain.
     
    La liberté, l'amitié, la sagesse et la prudence sont les bases fondamentales de cette néo-culture à venir.
     
    A court terme, le but de cette entreprise est de faire connaître, circuler la morale d'Epicure dans un cercle de moins en moins restreint d'amis pour débattre de ces idées sur Internet ou dans la vie « réelle » car comme le disait Epicure, philosopher, c'est d'abord débattre entre amis des moyens d'atteindre le bonheur.
     
    A long terme, on peut imaginer que cette communauté fraternelle des amis d'Épicure se réunira de plus en plus souvent pour aller jusqu'à fonder un vrai jardin épicurien en Corrèze selon les exemple de Marcel Conche ou dans bien d'autres endroits de France et de Navarre.

    1 commentaire